Ca y est. J'ai voté sur le site US et rajouté un message. En cliquant sur le lien je reviens au forum générique. Mais en "ouvrant dans une nouvelle fenêtre" j'ai atterri dans le bon sujet.
Oui. J'y vais tranquille pour le moment. Brûler les étapes est le meilleur moyen pour abandonner. Après une semaine, mon pas est déjà plus alerte et je ne fais plus de pauses tous les 100 mètres. C'est un bon début... Quand j'étais gamin je courrais 5000 mètres tous les jours. Puis plus tard 50 kilomètres de vélo par jour. Depuis mes 40 ans, j'ai pris du poids et suis passé de 60 kg à 100. C'est comme si je trimbalais un sac à dos avec 40 kg de cailloux en permanence. Puis les 2 paquets de Gitanes par jour on contribués à faire la loque que je suis devenu. Comme je ne veux pas passer mes journées à jouer aux cartes sur l'ordi en attendant de crever, j'essaie de me reprendre en main.
Pour le vélo, c'est rapé pour le moment, car c'est montagneux par chez moi. Genial pour la bécane à moteur, mais pas pour la force des jarrets.
Le canard en question est LVM (La vie de la moto) et mon pseudo est René Zuckes. Il y a justement un petit article de ma pomme dans celui qui paraît aujoui. (Trial de Bellefosse). Mais j'ai décidé d'arrêter car ils me gonflent en ce moment à la rédaction. Qu'ils virent le poivre et le sel pour rester conforme à la pensée unique, ça passe encore... Mais pour le dernier en date, Ils ont rajouté d'eux même une phrase moralisatrice et je n'ai pas apprécié du tout. (De quoi j'ai l'air maintenant). Si je ne peux plus écrire dans un style sympa et devoir rajouter des (A consommer avec modération) et autres niaiseries, je vais à l'avenir me concentrer sur des articles techniques et délaisser l'actualité.
Tiens un exemple de passages zappés par la rédaction. C'est si grave que ça docteur ?
Mon ami Manoël Eck me corrige en précisant que le grand M sur le réservoir de sa belle, ne signifie pas Motoconfort mais Matchless. La doyenne du plateau, une G80 500cc est née en 1939 de l’union de monsieur Matchless et madame AJS pour fonder la famille AMC (Associated Motor Cycles). La bourgeoise avait un port altier avec les épingles dans la coiffe de sa culasse. La jupe de son piston était maintenue par la soie de son vilebrequin. On remarque le galbe parfait des deux jambes de sa fourche, chaussées avec des escarpins de 3.5 par 18. Une robe noire, pardon de couleur, lui donnait cet air particulièrement élégant d’une british lady. Mano la montait (honni soit, qui mal y pense) et la menait de courbes en virages de sa poigne de vétéran.
